Raphael Fleury
Profil
À propos
Raphael Fleury, né en 1987, se passionne dès sa prime jeunesse pour l’écriture et le cinéma. En toute logique, il décide donc d’embrasser la critique cinématographique.
Une plateforme en ligne dédiée au septième art lui sert de laboratoire : il y écrit ses premières critiques, expérimente, se fait la main.
Au lycée Denis-de-Rougemont, il suit un cours facultatif de cinéma, prélude à son travail de fin d’études, intitulé Le Hussard sur le toit : du roman de Giono au film de Rappeneau. Sa faim toujours grandissante de cinéma est apaisée.
À l’université, cependant, elle redouble d’intensité. Afin de la satisfaire, il se lance, dans le cadre d’un cours de journalisme donné à Neuchâtel par un ancien journaliste de la RTS, dans la rédaction d’une critique-fleuve de film – Dark Shadows, de Tim Burton.
Viennent les années Daily Movies. Il rédige de nombreuses critiques de films pour le magazine spécialisé dans le cinéma, depuis le numéro 3 jusqu’au numéro 40. Son appétit de cinéma, devenu pantagruélique, est assouvi durant cette période faste.
Désirant alors élargir son horizon, il met un terme à sa longue et fructueuse collaboration avec Daily Movies. Toutefois, après avoir exploré la critique littéraire, la satire ou encore des sujets de société et de politique, l’appel du septième art se fait à nouveau impérieux, la faim réapparaît, tenaillante.
Raphael Fleury revient donc à ses premières amours journalistiques – la critique cinématographique – en se joignant à l’équipe de CLAP.CH.
S’il est un cinéaste qui, dans son cœur, occupe la première place, c’est Stanley Kubrick. Cela dit, Alfred Hitchcock le talonne.
Son film préféré ne porte néanmoins l’estampille d’aucun de ces deux génies : il s’agit du premier long métrage de Sam Mendes, American Beauty – suivi de près par La Ligne rouge, de Terrence Malick.
Mais à son panthéon cinématographique n’appartiennent pas que des œuvres provenant du monde anglophone : Les Enfants du Platzspitz (Suisse), Mommy (Québec), La Vie des autres (Allemagne), Let the right one in (Suède), Capharnaüm (Liban), Parasite (Corée du Sud), Les Misérables (France) ou encore Ema (Chili) sont comme autant de divinités qu’il n’est pas loin de vénérer.
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