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Les Paradis de Diane

Dernière mise à jour : 18 janv.

Note: 3/5

Entre déambulations et rencontres étonnantes à la limite de la fantasmagorie, le film de Carmen Jaquier et Jan Gassmann ne convaincra pas tout le monde mais nage dans la magie visuelle.


Diane, est heureuse dans sa vie, elle est enceinte, a un compagnon aimant et tout lui sourit. Jusqu’à son accouchement. Là tout bascule. Diane fait le déni de son nouveau-né, et de tout le reste de sa famille. Elle s’enfuit de l’hôpital dans la nuit, déambule telle une SDF dans les rues de Benidorm et va à la rencontre d’inconnus. Cherche-t-elle de la compagnie, du réconfort? Alors qu’elle aurait tout ce qu’il faut auprès de ses proches, Diane s’enfuit, se pose des questions, sintrospecte au grès de ses rencontres. Une pérégrination qui nage entre réalité et trip sous substances indéfinies.


Deux choses à retenir de ce film: la performance de l’actrice Dorothée de Koon sur qui le film repose à 80% et que l'on espère voir nommée au Prix du Cinéma Suisse.  Et on notera aussi la superbe performance de l’actrice française Aurore Clément (Barbara, Maigret, La Vie pour de vrai). et aussi la mise en scène sous la caméra de Thomas Szczepanski, parfois osée, parfois dérangeante mais toujours très respectueuse et d’une beauté à la limite de la poésie visuelle.



Par contre, on adhère ou pas à ce «city road Movie» qui parfois semble sortir tout droit d’un rêve sous acides, parfois très réaliste, vitaminé ou très lent selon le déroulement du scénario.

 


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