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Cocaine Bear

Note: 4/5

Dès les premières séquences de son troisième long métrage, Elizabeth Banks donne le ton.

On assiste à une farce monstrueuse dont le super méchant est un animal se trouvant dans un état second à cause d’un élément perturbateur d’origine humaine.


Grâce aux effets spéciaux des magiciens de Weta, on a droit à une panoplie de séquences qui enchaînent des actions sanglantes avec un ours totalement déchaîné et des moments très drôles, soutenus par un casting très enthousiaste défendant des personnages plaisants bien écrits.


Et sous ses airs de gaudriole, Cocaine Bear, heureusement sans endosser le costume de l’écologie militante, est une bonne revanche de la nature face à la bêtise humaine.


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