Note: 4/5
Dans le rôle principal, Caleb Landry Jones livre une performance éblouissante en s’exprimant avec une voix très douce et en se fondant dans les tourments de Douglas.
Certes le nouveau film de Luc Besson emmagasine certains défauts dus à une peinture caricaturale de certains personnages, mais il faut lui reconnaître la grande audace de proposer un anti-héros qui, excusez du peu, est handicapé, efféminé, travesti, versé dans la foi catholique et justicier, pour en faire un paria magnifique qui s’affranchit des convention de manière jubilatoire.
Et grâce à DogMan, on retrouve un auteur à l’écriture très personnelle qui joue astucieusement avec la provocation et le politiquement incorrect. Gonflé.
FORMAT 16/9
FORMAT 1/1
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