Note: 0/5
Chad Stahelski n’est pas un cinéaste, mais un metteur en scène de jeu-vidéo ultra violent. Sa chose n’est qu’une suite de niveaux entrecoupés de dialogues à la débilité olympique.
Cette franchise n’existe que pour flatter les plus bas instincts de ses consommateurs.
John Wick passe son temps à se battre en nous faisant perde le nôtre. Il se bat dans une exposition de tableaux, dans une discothèque, au Japon ou à Paris où, comble du ridicule le plus risible, il se tape deux fois les escaliers qui relient Montmartre au Sacré-Coeur.
C’est lourdingue, bruyant, et très fatiguant.
Keanu Reeves éructe sa demi-page de répliques comme un pitbull enragé.
John Wick: chapitre 4 est le parfait exemple à ne plus suivre.
Aucune sale de cinéma ne mérite de devenir un vulgaire support pour jeu-vidéo décérébrant.
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